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ECM: État de Conscience Modifié

placement S'il est difficile de donner une définition rigoureuse de la conscience, c'est qu'elle se présente comme mouvante et au mieux peut-on tenter de la décrire comme multiforme. Ainsi parle-t-on des cycles du sommeil: endormissement, sommeil profond ou paradoxal et de leurs troubles comme la "paralysie du sommeil" ou "l'intrusion du sommeil paradoxal en phase d'endormissement", troubles qui ne sont pas à priori des EHC caractérisées mais seraient des "ECM hors-veille".
A l'état de veille, l'ECM peut se produire spontanément ou être déclenché par diverses méthodes allant de la simple relaxation à la prise de psychotropes (alcool et médicaments inclus), en passant par diverses formes de méditation ou de concentration (visualisation et auto-hypnose), des pratiques psychophysiologiques comme l'hyperventilation, etc.


Un "choc" psychique voir physique peut en être le facteur originel mais déstabilisant car, impromptu, il va créer une discontinuité cognitive chez le sujet qui va s'en trouver  "libéré du connu"' et "pire": parfois pour le meilleur! (pour en savoir plus, lire cet article)



 

01/03/2013 LOLA

Je n’ai pas vécu ce que l’on nomme un Etat de Mort Imminente mais plutôt un Etat de Conscience Modifiée. Cela m’est arrivé le 16 mars 1994, il y a plus de 18 ans.

Mais avant d’arriver à ce joli jour, la « Vie » a pris son temps. Il lui fallait trouver le « décor » adéquat et surtout que l’acteur principal soit prêt.

Il m’a fallu près de 26 ans pour l’être. 26 ans de quête. Durant ce temps, je m’en rends compte, maintenant, j’ai fait comme le Petit Poucet. J’ai suivi les cailloux blancs que la « Vie » déposait à mes pieds. Ce parcours ne fut pas toujours facile. Je me suis découragée plus d’une fois, impatiente de trouver un sens à ce que je vivais ; mais, « quelque chose » en moi d’indéfinissable me poussait à continuer.

Quand le 16 mars 1994 est arrivé, j’étais épuisée. Alors, la « Vie », considérant, certainement, que j’étais prête, m’a placée devant un miroir. Un médecin était à mes cotés. La « Vie », par son intermédiaire, m’a demandé de me regarder dans le miroir et de me dire « Je t’Aime ».

J’ai eu quelque réticence à le faire tant cela me semblait farfelu. J’ai fini par prononcer ces mots si difficiles à dire, tant de fois galvaudés.

Et là … la « foudre » m’est tombée sur la tête. Un coup de foudre « d’Amour ».

Mon visage dans le miroir est devenu lumineux. J’ai eu le sentiment que mon coeur s’ouvrait en deux. Je ne parvenais plus à respirer. Mon cœur, comme déchiré, me faisait mal. Je suis tombée à terre. J’ai perdu connaissance quelques secondes, quelques minutes, je ne sais. Je suis revenue peu à peu à moi. Je riais. Je pleurais. Je ne savais plus où j’en étais. Une joie indicible a remplacé la tristesse qui, quelques secondes auparavant, m’étouffait, depuis tant d’années. De cette « rencontre » invraisemblable, « extra-ordinaire », je me suis tue. J’ai cru que je devenais folle tant de nouvelles perceptions s’imposaient, se bousculaient, me bousculaient.

Entre l’Amour parfait qui « Est » et mon imparfait, entre le monde matériel et spirituel, entre le cartésianisme et le « révélé », il y a des ajustements à faire, aussi, ai-je tenté, je l’avoue de mettre, de temps à autre, un peu de distance avec mon « Amoureux », parfois « envahissant». Avec patience, « Il » m’a apprivoisée, ouvert les « yeux », accompagnée de l’autre coté du « Miroir ». Ce n’est pas aisé de réaliser le « parfait Amour » avec plus « Grand » que soi. Mais, de « Lui », je le sais, je ne peux me passer. Cela me paraît toujours aussi « fou » de ressentir cela ; mais, c’est ainsi.

IANDs, il y a quelques mois, est venu à ma rencontre ou l’inverse. Un petit caillou blanc supplémentaire déposé sur mon chemin pour faire un pas de plus avec vous qui me lisez. J’ai le cœur qui bat la chamade. Ce n’est pas facile de parler du « caché », de déchirer le voile occultant « l’invisible » et de se « révéler » dans son « entièreté », de se mettre à nu. Mais, ce moment, comme tant d’autres auparavant, me parait, aujourd’hui, incontournable.

Merci à vous d’être là avec moi, à cet instant, pour vous parler de mon « Amoureux » et rompre, ainsi, ce silence de 18 ans que je ne supporte plus.

Lola, Novembre 2012



Pas une EMI, et pourtant...


Une expérience inusitée est venue un jour marquer ma vie. J'ai hésité longuement avant de prendre la décision de la présenter, parce qu'en soi cette expérience est très intime et qu'en plus je crains que son témoignage ne soit pas accueilli favorablement par les autres. Je prends donc le risque de témoigner de cette expérience.

L'expérience que je vais relater ici est bien réelle ' aucune substance consommée ne fut en cause ici : ni drogue d'aucune sorte ni alcool ' et elle a radicalement changé ma perception de la réalité. J'en témoigne en toute sincérité. J'ai décidé de la présenter parce que ce type de témoignage pourrait être un encouragement pour le cherchant.


Ma rencontre avec la Lumière


Le récit que je fais ici est vrai. Rien dans cette description n'est fictif. J'ai personnellement vécu en toute conscience les faits qui s'y rattachent.

Il y a de cela vingt-six ans, j'ai vécu une expérience d'une intensité comme jamais il ne m'avait été donné de vivre auparavant.

C'était le 23 janvier 1979. Il était près de 17:00h. Dehors, la nuit d'hiver s'était déjà pointée dans cette campagne québécoise (province du Canada) des Cantons de l'Est. Au rez-de-chaussée de notre grande maison victorienne, une foule de gens s'animait. Il y avait là, en plus des membres de notre famille immédiate, toute la parenté au grand complet, sans oublier un grand nombre d'amis, garçons et filles.  Il devait bien y avoir pas moins d'une soixantaine d'individus. Tous s'affairaient à quelque chose ; il y en a qui empilait de la bouffe dans des assiettes de carton, et d'autres qui n'en finissaient plus de remplir leur verre. Et tous ensembles, ils jasaient les uns avec les autres. Le rez-de-chaussée était une ruche bourdonnante. Moi, réfugié à l'étage supérieur, à l'écart du chahut d'en bas, seul, dans une pièce qui servait de petit salon, je me trouvais là au jour le plus triste qu'il m'avait été donné de connaître. Je revoyais en pensée l'image de cette soeur que j'aime tant, de cette  qsoeurue nous venions d'enterrer quelques heures auparavant. La souffrance que je ressentis au plus profond de moi était d'une telle amplitude, si intense, qu'elle m'était tout simplement intolérable. Je ne pouvais plus la supporter. J'avais 16 ans, et à cet âge les émotions nous atteignent avec une force extrême. C'est alors que, peut-être par instinct de survie, je me suis dit que je ne voulais plus ressentir cette souffrance en moi, parce qu'elle m'apparaissait bien trop dangereuse. Mais, me suis-je dis intérieurement, comment parvenir à ne plus sentir cette douleur horrible. J'eus le réflexe de croire qu'en m'exerçant à ne penser à rien, j'en viendrais à bout d'extirper cette douleur qui me chavire. Je tentais donc de n'avoir plus aucunes pensées, de n'éprouver plus aucunes émotions, de faire le vide en moi, le grand vide intérieur. Ce n'est certes pas sans grandes difficultés que je m'astreignis à cette tâche des plus exigeantes. Au début, tous mes sens contestèrent cette pratique inhabituelle, ils ne semblèrent pas vouloir coopérer avec une telle demande de ma volonté. Je m'efforçais pourtant davantage. Je devais tout improviser moi-même ; jamais je n'avais encore lu de livres sur le paranormal ou sur la méditation. J'ai essayé de toutes les manières qui me venaient à l'esprit ; debout, assis, les bras relâchés de chaque côté, les mains avec les paumes ouvertes, les yeux fermés, les yeux ouverts'  Le résultat ne se faisait pas sentir. Finalement, j'optai pour une position assise, le dos bien droit, les bras bien relâchés le long de mon corps, les yeux ouverts, contemplant fixement une statuette en terre cuite de forme humaine, disposée sur une étagère juste en face de moi. Je me souviens de m'être dit intérieurement que cette statue a bien de la chance d'être incapable d'éprouver quelques formes d'émotion que ce soit.  Je voulais être comme elle. Je me suis donc imaginé que j'étais une statue. Comme elle, j'étais immobile, je ne clignais pas des yeux, aucune pensée n'attirait mon attention et la cacophonie d'en bas ne m'atteignait plus. J'aurais pu tomber par terre et me casser en miettes sans que cela ne me perturbe d'aucune façon. J'étais enfin dans le calme le plus total.

C'est alors que j'ai senti une vibration prendre naissance dans le bas de mon dos et remonter lentement le long de ma colonne vertébrale pour aller atteindre le sommet de ma tête. Ce fut une sensation très bizarre. C'était comme si un courant électrique me traversait d'un bout à l'autre. Je ressentais cette propagation en moi et tout ce qui a de poils sur mon corps se redressait au contact de cette ascension. Lorsque cela arriva à la hauteur de ma tête, mes cheveux se redressèrent bien droit au-dessus de moi. Ils étaient comme électrisés par ce champ magnétique. Et là, soudainement, toutes les lumières de l'étage se sont éteintes d'un seul coup, comme s'il y avait eu une panne de courant. Mais je savais bien qu'en bas l'éclairage ne manqua pas, il n'y eut aucun sursaut de la part des convives encore affairés par leur banquet funèbre et leurs discussions tumultueuses. Moi, j'étais là-haut, seul et dans le noir complet, avec une sensation encore très étrange dans mon corps. Soudain, j'entendis une porte s'ouvrir lentement à l'autre extrémité de l'étage. C'était la porte de la chambre à coucher de ma s'ur, cette chambre où elle s'était donnée la mort quelques jours plus tôt. Ensuite, une deuxième porte s'entrouvrit, c'était celle du corridor donnant accès au petit salon devant la chambre de ma s'ur. Celle-ci étant plus proche de moi, je l'entendis encore mieux que la première, d'autant plus qu'elle avait la fâcheuse habitude de grincer fortement quand on l'ouvrait. À ce moment-là, je sentis que quelque chose s'approcha lentement vers moi le long de ce corridor. Je ne voyais rien puisque ce corridor, qui était en forme de « T », faisait un angle de 90 degrés avec la pièce où je me trouvais. Mais par contre, je me suis avancé un peu plus en avant et là j'ai pu voir un reflet lumineux se déplacer sur le mur du corridor qui s'offrait à ma vue. Cela se rapprocha lentement en ma direction en illuminant les murs sur son passage. Il est certain que j'eus très peur, au point où je pris la décision d'aller m'accroupir derrière la chaise au fond de la pièce. Soudain, je pus voir en face de moi cette chose, cette présence. Elle s'immobilisa au centre du cadrage de la porte de la pièce dans laquelle je me trouvais accroupi. C'était une boule de lumière, étincelante, blanche et luisante comme un soleil. Elle irradiait d'une clarté puissante, sans toutefois altérer ma vision. Je pouvais sans aucune difficulté la soutenir du regard. J'étais caché au fond de cette pièce et, elle, la Lumière, se tenait en équilibre dans les airs, à mi-hauteur du cadrage de porte. Je restais là, immobile, contemplant cette sphère lumineuse un certain temps. Puis, ayant repris du courage, je me suis relevé et avancé à mi-chemin vers cette lumière immaculée. Là, je lui ai adressé les mots suivants : « Qui es-tu ? » Mais, je ne reçus aucune réponse à ma question. Cette forme ronde de lumière, qui semblait bien être vivante, demeurait là devant moi. Je pouvais voir de minces filets lumineux comme des éclairs faire le contour de cette boule illuminée. Je pouvais même entendre comme un vrombissement sonore provenir d'elle : c'était semblable à un essaim de milliers d'abeilles. À un moment donné, j'ai voulu fuir, afin de retrouver tous les autres en bas. Mais comment sortir de cette pièce ? Puisque cette chose étrange était placée juste en face de la sortie. À l'instant même où je pris l'initiative de m'élancer vers la sortie, cette boule de lumière s'est précipitée sur moi à une vitesse vertigineuse pour m'atteindre en plein c'ur. J'en fus tout ébloui un certain temps. C'était comme si je m'étais retrouvé au beau milieu de feux d'artifice. Je ressentis alors une joie immense, empreinte d'un Amour incommensurable, envahir mon être tout entier. Je ne sais pas très bien combien de temps dura cette sensation. Cela me parut durer une éternité. Le temps me sembla figé. Toutes les choses autour de moi dans la pièce prirent un aspect différent et étrange. Chaque chose semblait reliée à moi, comme si elles étaient une partie de moi. Il n'y avait pas de séparation entre moi et toutes ces choses. Tout était inter-relié. Chaque chose était aussi importante les unes que les autres, moi inclus. C'était comme une extase. Après une période de temps indéfinissable dans cet état, j'observai alors mon corps, il était entouré d'une luminosité verte. Cette lueur était semblable à certains colliers fluorescents (ou phosphorescents) qui se mettent au cou dans les foires et spectacles. Je restai un moment à regarder ce phénomène lumineux se dégager le long de tous mes membres avant de prendre la décision de retourner en bas, au rez-de-chaussée de la maison, pour rejoindre les autres de ma famille. Je suis finalement redescendu des escaliers lentement, car la peur ne m'habita plus. Je me souviens même être remonté dans cette pièce après avoir atteint la moitié des escaliers. Revenu au milieu des autres personnes du rez-de-chaussée, je suis allé immédiatement retrouver une autre de mes s'urs, et je me suis empressé de lui demander si elle voyait la lueur verte qui m'entourait. Elle me répondit que non en se demandant bien pourquoi je lui demandais une telle chose. La coloration sur mon corps s'estompa lentement jusqu'au point où je ne fus plus en mesure de la voir moi-même.

Voilà ! Il s'agit de l'histoire qui m'est véritablement arrivée. Les années n'ont jamais pu en altérer le contenu dans ma mémoire. Depuis ce phénomène étrange, je n'ai aucun doute que l'au-delà existe et que nous soyons tous immortels. Ce fut une expérience très puissante. J'ai bien cru qu'au contact de cette Lumière mon corps allait exploser. Je veux dire qu'il me sembla que mon corps ne pouvait pas supporter autant d'énergie. On aurait dit qu'une Force fulgurante inonda tout mon être. Je me suis senti transporté ailleurs. Je sais maintenant ce que le mot « extase » représente. Mais, très honnêtement, J'éprouve énormément de difficulté à tenter de décrire cette « rencontre ». Les mots me paraissent si faibles pour parler de « Cela ». J'ai même l'impression qu'en utilisant des mots, je « Le » minimise.

Cette expérience provoqua en moi des changements profonds dans mon comportement et ma manière d'appréhender la vie. Je devins beaucoup plus sensible à l'idée d'avoir une mission à accomplir au cours de mon existence terrestre. Des valeurs orientées vers l'humanisme et l'écologie s'installèrent en moi. Tout mon système religieux d'alors s'est profondément changé. Il n'est plus basé sur des croyances, mais sur la connaissance et sur l'intuition. Je ne suis plus un partisan spécifique et exclusif à une religion donnée, j'embrasse toutes les vérités en chacune d'elles. Il est certain que, depuis cette rencontre avec la Lumière, les modèles de vie que nos sociétés nous proposent m'indisposent grandement. Désormais, je n'ai nullement envie de vivre dans un monde basé sur la domination de l'un sur l'autre. Je suis devenu comme allergique à toute forme de compétition. Un nouveau phénomène, assez particulier, s'instaura en moi à partir de cette expérience. Désormais, je ne ressens plus aucune crainte face à la mort.

J'ai finalement acquis une formation d'accompagnateur pour les personnes gravement malades et pour le soutien à leurs proches. J'offre bénévolement beaucoup de mon temps et de mon aide pour accompagner des personnes en phase terminale dans les unités de soins palliatifs.

Comme vous pouvez le remarquer dans ce témoignage ; je ne suis point passé par la mort pour vivre cette expérience ; je ne l'ai point vécu dans une quelconque autre dimension ; je l'ai vécu extérieurement, de la même façon que lorsqu'à l'état de conscience de veille l'on rencontre quelqu'un en face de soi-même. Donc, il ne s'agit pas ici d'une expérience de mort imminente ni d'une expérience hors du corps.

ECM



Contrairement à ce que l'appellation "EMI" semble affirmer, ces expériences peuvent se produire hors de toute circonstance de mort imminente : la preuve en est celle ci, qui en présente les principales caractéristiques, et qu'on peut enfin, en en connaissant les circonstances, souhaiter à tout le monde !


Une nuit de mars 199., nous faisions l'amour avec mon compagnon de l'époque, un grand amour...
Nous étions en harmonie totale depuis des mois et les orgasmes étaient extatiques...
une douceur, une sensualité émanaient de nous deux...
Nos amis le sentaient souvent et nous le disaient, ...elle était visible...
Faire l'amour ensemble était sublime, les 'paliers' atteints de plus en plus intenses et forts, de l'extase à l'état pur, jouissance ultime....
Très souvent, mon sexe se métamorphosait en lotus blanc, et je devenais un lotus blanc, fusion déjà....

Et puis, une nuit, après être lotus blanc, une très forte vague (plus forte que les autres, inconnue celle-là) est née dans mon bas ventre, vague d'une force extraordinaire que je ne pouvais pas arrêter, qui montait tout le long de mon corps de + en + forte, et d'autres vagues encore lui succédaient, mon c'ur battait de + en + fort... J'ai eu peur de la crise cardiaque!!! et les vagues de plus en plus intenses et fréquentes me parcouraient, et montaient à ma tête, toute cette force me montait à la tête sans que je ne puisse rien arrêter...rien contrôler...
Je cherchais à 'calquer' cette respiration sur des rythmes plus lent, et malgré moi, c'était encore + fort...
J'ai eu mal à la tête , de la douleur, puis la douleur a disparu comme par enchantement...
La peur a disparu, elle aussi.
Et alors là, une force équivalente à la puissance d' une dizaine de fusées Columbia au décollage m'a complètement submergée et je me suis envolée...à une vitesse fulgurante, je suis sortie de mon corps, j'étais cette force, cette énergie extraordinaire, je suis partie vers les étoiles...J'étais cette force, force de tout l'univers réuni tout entier, énergie devenue qui continuait sa course effrénée je ne sais où....
j'ai donc 'traversé'ma tête, un point très particulier, j'ai traversé le plafond, le toit, sans avoir mal (j'étais très étonnée...) et suis partie aussi vite que la vitesse de la lumière, peut-être plus vite encore vers les étoiles....
Je sentais que quelque chose de beau, de bon me parcourait, sans savoir quoi !
Energie sublime, mais aussi détachement se mettait en place, s'opérait...
Je sentais que malgré moi, je me détachais de tout, qu'il fallait que je me détache de tout ce à quoi je tenais dans ce monde, que j'abandonne tout, sensation au fond de moi qui devenait tout, j'étais cette sensation ! je m'abandonnais et quelque chose me poussait à le faire,
j'étais de l'énergie, dans un grand sillon plein de points de lumière, uniquement des points de lumière, j'étais de l'énergie ! et je continuais de monter en haut comme une fusée d'une force extraordinaire,...
Quelques bribes de ma vie se sont déroulées et je me sentais coupable de ne pas avoir assez aimé mon frère T, décédé en 1987, subitement d'un accident de la route...je me culpabilisais de ne pas l'avoir assez aimé !!! et alors une Présence me disait que ce n'était pas important pour l'instant, que je devais continuer mon voyage....
J'étais de + en + baignée dans ce flot de lumière et d'énergie  et je sentais de + en + un flot de lumière encore plus belle...je baignais dans l'amour, dans un havre de paix ultime, sublime, dans une quiétude,  sérénité,  calme, enveloppée....
Rien que de l'amour!
Puis la présence prenait forme d'ETRE DE LUMIERE!!! ouvrant les bras pour m'inviter à être....
il n'y a plus de contraintes, de peurs, d'angoisses, j'étais encore énergie et l'énergie était moi...j'étais AMOUR, SERENITE, PAIX, BEAUTE d'ETRE ...J'ETAIS tout simplement!!!
au plus profond de moi
je baignais, j'étais en COMM-UNION avec cet ETRE DE LUMIERE, toutes les questions que je me posais, IL y 'répondait', IL parlait à ce que j'étais au plus profond de moi, des questions profondes intuitives recevaient réponse en COMM-UNION, avec HARMONIE TOTALE PARFAITE...
Tout avait réponse à tout,.....compréhension universelle totale et infinie, en profondeur, encore plus loin que la profondeur des choses...
Et de l'AMOUR PUR SACRE,  BONHEUR, SERENITE,....
Cet ETRE DE LUMIERE qui diffusait tout cet AMOUR, qui m'en donnait qui me 'parlait' à travers ce flot d'énergie...Rien de comparable sur terre....un bonheur exquis immense, qui ne finit jamais, une BOULE D'AMOUR,, plus de manques, de conflits, de peurs, de contraintes, tout est pur, limpide, fluide...clair....
BAIN dans l'immensité de l'amour du cosmos, harmonie totale, sans faille....
Il n'y a qu'AMOUR tout est AMOUR, tout baigne dans l'amour, le COSMOS est AMOUR....PUR!!!! ETRE DE LUMIERE, d'une grande SAGESSE, d'une CONNAISSANCE ABSOLUE ET UNIVERSELLE, DIVIN, cet ETRE m'attirait et aussi je sentais, il me communiquait quelque chose, je ne sais quoi...Tout est en harmonie, chaque chose en son temps...
JE BAIGNAIS dans ce flot d'amour
au fond de lui, vers le c'ur, il y avait encore plus de lumière attirante, envie de voir sentir encore et encore plus...
Puis, je ne sais pourquoi, je ne l'avais pas décidé, ETRE de LUMIERE devient lumière, points d'énergie,  nuages, COSMOS et moi toute seule mais bien, sereine et pleine d'amour, j'ai pas compris, j'y serais bien restée...
Nostalgie, j'ai pensé ou ETRE de LUMIERE m'a fait sentir que j'avais deux enfants à m'occuper, re-attachement à notre monde et retour sur terre...Dommage!
L'homme, les êtres vivants, tout vit, tout a réponse à tout au fond de lui, il connaît tout...Toujours AMOUR,  ....c'est merveilleux et encore plus et ça dure....SERENITE,  QUIETUDE,  AMOUR SACRE,
et ce silence d'une beauté inimaginable!!!
pas assez de mots, les mots ici bas n'existent pas pour transcrire, car la communication n'est pas comme ici bas, les 'moyens' ne sont pas similaires!
Puis retour progressif,...des nuages d'une beauté sublime et CONNAISSANCE
ce mot est resté, sans savoir encore pourquoi : CONNAISSANCE
Je me suis retrouvée dans mon corps, tout doucement et tout d'un coup à la fois.


ECM